Damian Warner et Ellie Black avec un groupe d'enfants.

Les terrains de jeux sont aussi importants que les podiums; Cadillac Fairview investit pour que les enfants jouent et soient actifs

Bien des athlètes ont amorcé leur parcours vers les Jeux olympiques sur un terrain de jeu. Non pas en se prêtant à des exercices ou à de l’entraînement dirigé sous les ordres d’une entraîneure ou d’un entraîneur, mais à l’aide de ce qui représente sans doute l’élément de base le plus important pour tous les sports — jouer avec d’autres enfants.

Les terrains de jeu sont un espace fondamental pour le jeu libre. C’est là que nous apprenons à tisser des liens, à nourrir un esprit de tolérance, à tester ses limites et à se faire confiance. C’est sur le terrain de jeu que, bien souvent, nous tirons pour la première fois des leçons en matière de résilience, d’amitié, de travail d’équipe — toutes des compétences essentielles non seulement dans le sport, mais dans la vie aussi.

Malgré son importance, le jeu libre est en baisse ces dernières années. Seulement 28 % des enfants de cinq à 17 ans au Canada répondent aux normes nationales en termes d’activité physique, tandis que plus de 80 % d’entre eux dépassent la limite recommandée au chapitre du temps d’écran quotidien. Dans la province la plus peuplée du Canada, l’Ontario, une cour d’école sur quatre a été jugée inadéquate pour le jeu.

En réponse à cette réalité, Cadillac Fairview lance CF Play Makers, un programme conçu pour promouvoir le jeu. Au moyen de CF Play Makers, Cadillac Fairview s’engage à remettre à neuf les espaces de jeu pour que les communautés puissent s’y épanouir.

En vue de la campagne « Ramenez le jeu », CF Play Makers a fait équipe avec le Comité olympique canadien, ainsi qu’avec les athlètes olympiques d’Équipe Canada Damian Warner et Ellie Black. Le but est de rappeler aux adultes, qui jouent souvent le rôle de surveillants du jeu, à quel point le jeu libre est important pour le bien-être physique, mental et émotionnel des enfants.

Black, une gymnaste artistique qui participera bientôt à ses quatrièmes Jeux olympiques a prêté son nom à un mouvement aux barres asymétriques. On peut donc aisément imaginer que des enfants un peu partout au pays chercheront à l’imiter sur les modules de jeu.

« Tous les enfants au Canada méritent qu’on leur donne la possibilité de profiter des bienfaits du pouvoir du jeu, affirme Black. Les liens que les enfants établissent ainsi que la confiance et l’esprit de créativité qu’ils développent au moment de jouer, que ce soit dans le sport ou ailleurs, ont une valeur inestimable. »

Dans le cas de Damian Warner, le champion olympique en titre du décathlon, le jeu ne représente pas seulement la façon dont il a commencé à faire du sport, ça s’est aussi avéré un élément important dans ce qui l’a amené à réorienter sa vie au moment d’y accueillir son fils Theo en 2021.

« Quand les enfants jouent, nous y gagnons tous, déclare Warner. Pour un bon nombre d’athlètes d’Équipe Canada, moi inclus, le temps de jeu pendant l’enfance et l’adolescence a été formateur dans le cadre de notre parcours sportif. Nous ne serions pas ici aujourd’hui si nous n’étions pas passés par là. »

Warner est la preuve que le jeu n’est pas seulement quelque chose de positif pour les enfants. Ainsi donc, faisons tous du retour aux terrains de jeu une priorité.

Pour obtenir plus de détails, consultez cfplaymakers.ca.