Les meilleurs films de basketball
Vous connaissez bien votre basketball? Super! Mais connaissez-vous bien vos films de basketball? Voici notre sélection.
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Les Blancs ne savent pas sauter (White Men Can’t Jump) (1992)
L’histoire entière de cette excellente comédie est basée sur ce préjugé : les Blancs ne sont pas aussi bons au basketball que les Noirs. Un joueur de basket blanc se servira de cette présomption pour leurrer ses « victimes » et faire de l’argent sur leur dos en leur montrant qu’effectivement, il peut sauter! L’un de ses adversaires y verra une occasion en or de se faire la palette, et deviendra son agent pour organiser des matchs de basket trompeurs.
Le grand défi (Hoosiers) (1986)
Acclamé par plusieurs grands médias sportifs comme l’un des meilleurs films de sports de tous les temps, Le grand défi et ses incroyables scènes d’action devraient vous tenir sur le bout de votre chaise comme si vous regardiez un James Bond. On se souviendra de Gene Hackman dans la peau de l’entraîneur Norman Dale, un homme qui ne fait pas l’unanimité lorsqu’il devient l’entraîneur de l’équipe de basketball de l’école. Ses méthodes non orthodoxes sont tout d’abord source de tensions, mais lorsque l’équipe commence à croire en lui, plus rien ne peut les arrêter.
He Got Game (1998)
Le réalisateur Spike Lee s’est aventuré dans toutes sortes de films – voir Love and Basketball plus bas – , mais dans He Got Game, on peut apprécier son travail à son meilleur. Denzel Washington tient le rôle d’un prisonnier et père d’un jeune joueur de basketball très talentueux. Il a une chance de libération anticipée lorsqu’on lui propose de convaincre son fils d’aller jouer pour l’alma mater du gouverneur de New York en échange de cette faveur.
Amour et Basketball (Love and Basketball) (2000)
Un teen movie comme on les aime. Deux amis d’enfance, Monica et Quincy, aspirent à devenir des joueurs de basketball professionnels. Quincy, dont le père joue pour les Clippers de Los Angeles, a le basket dans le sang et est un leader né. Monica est une joueuse excessivement compétitive et se laisse souvent emporter par l’émotion sur le terrain. Au fil des ans, les deux ados commencent à tomber amoureux l’un de l’autre, mais leurs chemins vers la célébrité du basketball menacent de les séparer.
Coach Carter (2005)
Coach Carter, un classique parmi les classiques de films de basketball. On s’attache d’autant plus aux personnages que le film est inspiré d’une histoire vraie, celle d’un entraîneur de basket aux méthodes plutôt extrêmes, arrivé dans une école défavorisée. Il privilégie les résultats scolaires de son équipe à leurs résultats sportifs, allant jusqu’à les priver d’entraînement; une stratégie qui aura même fait de piquer la curiosité des médias locaux…
Hoop Dreams (1994)
Alors que le cinéma sportif est souvent synonyme d’histoires vraies ou de fictions inspirantes, Hoop Dreams va plus loin : ce documentaire retrace le chemin de joueurs de basket du secondaire aux grandes aspirations, de terrain de basket à l’école au recrutement par les universités. Nommé ou présenté lors de festivals et cérémonies de remises de prix prestigieuses, dont les Academy Awards et le Sundance film festival, cette œuvre nous fait passer par toute une gamme d’émotions.
Chute libre (The Basketball Diaries) (1995)
Inspiré des mémoires de Jim Carroll, Chute libre relate l’adolescence d’un jeune Jim, joueur de basket dans la meilleure équipe de New York, qui tombe dans l’enfer de la drogue après avoir été renvoyé de son équipe. Le film se déroule à plusieurs moments dans sa vie, dispersés sur quelques décennies. Les défis seront nombreux, notamment lorsque sa mère l’expulsera de chez elle. Leonardo DiCaprio tient le rôle principal.
Basket spatial (Space Jam) (1996)
Même les enfants qui n’ont jamais joué au basket ont vu Basket spatial. La raison : c’est divertissant, c’est drôle, et ç’a très bien vieilli. D’ailleurs, une suite mettant en vedette la nouvelle étoile du basketball, LeBron James, est en cours de production. Dans ce film mélangeant animation et images réelles, Michael Jordan et ses amis les Looney Tunes doivent remporter une partie de basket contre des extra-terrestres qui, s’ils gagnent, emmèneront les personnages animés dans leur parc d’attractions spatial!
Chemin de la gloire (Glory Road) (2006)
Rentrant impeccablement dans le moule « nouvel entraîneur exigeant avec une équipe à bâtir », ce film est pourtant excellent. Inspiré de faits vécus, il raconte la route truffée d’embûches de Don Haskins (aujourd’hui intronisé au Temple de la renommée), qui se retrouve à la tête de l’équipe de l’ouest du Texas. Rebâtissant complètement ses troupes, il entraîne finalement la toute première équipe à la ligne de départ composée uniquement de joueurs afro-américains.
Blue Chips (1994)
Jusqu’où ira un entraîneur déterminé à gagner pour conserver son emploi? Alors que l’équipe de basket de l’Université Western éprouve des difficultés majeures après des années de succès, le coach Pete Bell se tourne vers des joueurs incroyables… Qui posent des conditions tout aussi incroyables à leur embauche. Bell se corrompra-t-il pour sauver sa carrière?
Mentions honorables
Semi-pro (2008)
Jackie Moon, personnage interprété par nul autre que Will Ferrel, est entraîneur d’une équipe de la American Basketball Association (ABA). Lorsqu’il apprend que la NBA fusionnera avec l’ABA et que quelques équipes de cette dernière passeront au niveau ultime du basketball professionnel, il tente à tout prix d’améliorer la performance de son équipe. Une comédie bien grasse comme seul Ferrel peut les livrer.
Teen Wolf (1985)
Michael J. Fox ne sait pas que voyager dans le temps, il sait aussi jouer au basketball! La popularité de Teen Wolf, qui s’inscrit dans la décennie de cinéma incroyable qu’est 1980, est surtout due à la folie entourant Fox après Retour vers le futur. Le film est, en lui-même, loin d’être une oeuvre d’art. Le récit inclut une portion de science-fiction : un adolescent découvre que sa famille porte les gènes de loup-garou. Avec sa transformation, il devient soudain excellent au basket, et tire profit de ses différences pour devenir populaire.
Eddie (1996)
Si vous n’avez pas les moyens de planifier un week-end aux États-Unis pour aller voir un vrai match de la NBA, rabattez-vous sur cette option moins coûteuse : le film Eddie! De véritables joueurs de la NBA dans la décennie 1990 font partie de la distribution, ce qui offre des scènes de basketball réalistes et captivantes. L’histoire n’impressionne peut-être pas plus qu’il le faut, mais la performance de Whoopi Goldberg est éclatante, fidèle à son habitude.