Page de ressources sur l’histoire autochtone

Le Comité olympique canadien (COC) est fondé sur les valeurs et les idéaux d’accessibilité, d’équité et de sport pour tous — nous reconnaissons et célébrons notre patrimoine unique, notre culture diversifiée et les contributions de chacun, y compris les peuples autochtones.

ORGANISATIONS SOUTENANT LES PEUPLES AUTOCHTONES

Pour savoir sur quel territoire vous vous trouvez, comment prononcer le nom d’une Nation et voir des exemples de reconnaissance de terres territoriales[CGC1] , veuillez consulter www.whose.land/en ou native-land.ca/fr

Ressources d’Équipe Canada pour la Journée nationale des peuples autochtones – Le Comité olympique canadien (COC) est fondé sur les valeurs et les idéaux d’accessibilité, d’équité et de sport pour tous — nous reconnaissons et célébrons notre patrimoine unique, notre culture diversifiée et les contributions de chacun, y compris les peuples autochtones. Ce site web explique la Journée nationale des peuples autochtones, raconte l’histoire de plusieurs athlètes d’Équipe Canada qui sont fiers d’appartenir à des communautés autochtones, et propose des ressources pour soutenir les communautés autochtones.

cérémonie d'ouverture à B.C. Place aux Jeux olympiques d'hiver à Vancouver, en Colombie-Britannique, le vendredi 12 février 2010. (CP PHOTO)2010(HO-COC-Mike Ridewood)
cérémonie d’ouverture à B.C. Place aux Jeux olympiques d’hiver à Vancouver, en Colombie-Britannique, le vendredi 12 février 2010. (CP PHOTO)2010(HO-COC-Mike Ridewood)

Assemblée des Premières Nations – L’Assemblée des Premières Nations (APN) est une organisation nationale de défense des intérêts qui s’efforce de faire progresser les aspirations collectives des individus et des communautés des Premières Nations du Canada, soit plus de 900 000 personnes vivant dans plus de 600 communautés des Premières Nations situées dans des villes et des villages de tout le pays.

Inuit Tapiriit Kanatami – L’organisation nationale de représentation qui protège et défend les droits et les intérêts des Inuits au Canada. Elle est la voix nationale de 65 000 Inuits au Canada. La plupart des Inuits vivent dans 51 communautés réparties dans la région de peuplement des Inuvialuit [CGC2] (Territoires du Nord-Ouest), au Nunavut, au Nunavik (Nord du Québec) et au Nunatsiavut (Nord du Labrador). Il englobe 40 % de la superficie du Canada et 72 % de ses côtes.

Ralliement national des Métis – L’avènement du commerce des fourrures dans le Nord-Ouest historique au cours du XVIIIe siècle s’est accompagné d’un nombre croissant d’enfants issus de femmes autochtones et de commerçants de fourrures européens. Au fur et à mesure que cette population établissait des communautés distinctes de celles des autochtones et des Européens et se mariait entre eux, un nouveau peuple autochtone est apparu – le peuple métis – avec sa culture, ses traditions, sa langue (le michif), son mode de vie, sa conscience collective et son appartenance à une nation qui lui sont propres.  Ce site web retrace la riche histoire des gouvernements de la Nation métisse et en est la voix.

Ashukan  (formation en français) – Ashukan est une plateforme de formation nommée d’après le mot Anishinaabemowin qui signifie « pont » entre les rives. Ashukan crée ces ponts entre les personnes et les organisations par le biais de l’éducation sur les peuples autochtones et leur histoire.

Mikana (formation en français) – Mikana est une organisation autochtone à but non lucratif dont la mission est d’oeuvrer au changement social en sensibilisant différents publics sur les réalités et perspectives des peuples autochtones.

Centre national pour la vérité et la réconciliation – Le Centre national pour la vérité et la réconciliation (CNVR) est un lieu d’apprentissage et de dialogue où sont honorées et conservées en sécurité pour les générations futures les vérités des survivantes et des survivants des pensionnats autochtones, des familles et des communautés.

Le CNVR a reçu le nom spirituel bezhig miigwan qui, en anishinaabemowin, la langue du peuple anishinaabe, signifie « une plume ». Ce nom rappelle que chaque survivante et survivant mérite le même respect et la même attention que la plume d’un aigle. Ce nom nous indique aussi que nous jouons un rôle vital dans le travail de réconciliation.

Le CNVR se trouve sur les terres d’origine des Anishinaabe, des Cris, des Oji-Cris, des Dakota et des Dénés et le berceau de la Nation métisse.

cérémonie d'ouverture à B.C. Place aux Jeux olympiques d'hiver à Vancouver, en Colombie-Britannique, le vendredi 12 février 2010. (CP PHOTO)2010(HO-COC-Mike Ridewood)
cérémonie d’ouverture à B.C. Place aux Jeux olympiques d’hiver à Vancouver, en Colombie-Britannique, le vendredi 12 février 2010. (CP PHOTO)2010(HO-COC-Mike Ridewood)

LES PEUPLES AUTOCHTONES ET LE SPORT AU CANADA

Sous la direction des Nations Líl̓wat, xʷməθkʷəy̓əm (Musqueam), Sḵwx̱wú7mesh (Squamish) et səlilwətaɬ (Tsleil-Waututh), l’équipe de faisabilité 2030, comprenant des membres du COC, a étudié la possibilité d’accueillir les Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2030 en Colombie-Britannique. Bien que nous ayons été déçus d’apprendre que le gouvernement de la Colombie-Britannique a refusé d’appuyer les efforts menés par les peuples autochtones, nous continuons à croire en ce processus sans précédent mené par les autochtones et au pouvoir du sport pour transformer le Canada.

Nous nous engageons à continuer de réunir tous les partenaires pour qu’ils discutent de la vision du sport dans leurs communautés et de l’incidence durable que nous pouvons avoir en travaillant ensemble. Nous pensons que le travail accompli à ce jour et les leçons tirées tout au long de ce processus peuvent et doivent définir le contexte des initiatives futures en Colombie-Britannique et dans l’ensemble du pays.

Pour en savoir plus sur cette étonnante candidature menée par des autochtones, veuillez consulter le site : https://www.engagementjeux.ca/de-futurs-jeux

Au Canada, le sport autochtone dispose d’une structure sportive parallèle, semblable à celle des organismes nationaux de sport et des organismes provinciaux de sport.

Cercle sportif autochtone – Le Cercle sportif autochtone (CSA) est le porte-parole national du sport, de l’activité physique et des loisirs autochtones au Canada. Il rassemble les intérêts des Premières Nations, des Inuits et des Métis.

Le CSA est un collectif d’organismes provinciaux et territoriaux de sport autochtone (OPTSA) qui guident le Cercle et en établissent les priorités nationales. Retrouvez-les sur Instagram ICI

Organismes provinciaux/territoriaux de sport autochtone (OPTSA)

Trouvez votre organisme provincial et territorial de sport autochtone. 

Programme destiné aux entraîneurs d’athlètes autochtones (PEAA)

Créé à l’origine pour offrir un perfectionnement professionnel culturellement adapté aux entraîneurs d’ascendance autochtone, métisse ou inuite, le PEAA offre maintenant aussi une formation et des outils essentiels aux entraîneurs non autochtones qui travaillent auprès de communautés ou d’athlètes autochtones.

Le PEAA s’articule autour d’une plateforme culturelle conçue pour motiver les entraîneurs et leur donner les moyens d’exercer une influence positive et de longue durée dans leur rôle et dans leur communauté.

Le PEAA se compose de quatre (4) éléments clés :

  1. Modules pour entraîneurs d’athlètes autochtones (MEEA) – Un programme de formation pour les entraîneurs autochtones et non autochtones qui reflète les approches, la culture, les valeurs et les modes de vie typiques des Autochtones.
  2. Formation des personnes-ressources pour les MEAA (FPRMEEA) – Programme de formation en plusieurs étapes destiné aux membres des Premières Nations, aux Métis et aux Inuits qui aimeraient devenir des facilitateurs accrédités capables d’animer MEAA.
  3. Programme des apprentis entraîneurs autochtones (PAEA) – Programme de perfectionnement professionnel des entraîneurs membres des Premières Nations, des Métis et des Inuits.

Prix nationaux des entraîneurs autochtones – Célébration annuelle de reconnaissance des entraîneurs membres des Premières Nations, métis et inuits.

cérémonie d'ouverture à B.C. Place aux Jeux olympiques d'hiver à Vancouver, en Colombie-Britannique, le vendredi 12 février 2010. (CP PHOTO)2010(HO-COC-Mike Ridewood)
cérémonie d’ouverture à B.C. Place aux Jeux olympiques d’hiver à Vancouver, en Colombie-Britannique, le vendredi 12 février 2010. (CP PHOTO)2010(HO-COC-Mike Ridewood)

Sports autochtones

Les sports autochtones sont uniques et stimulants, mettant en valeur l’endurance et la force athlétique de l’athlète.  En voici quelques exemples :

Knuckle Hop – Le Knuckle Hop est un sport arctique dans lequel les concurrents rebondissent sur le sol aussi loin qu’ils le peuvent en se déplaçant uniquement sur leurs articulations et leurs orteils. Le record du monde est détenu depuis les années 1980, soit une performance de 191 pieds.

Two Foot High Kick – Décoller des deux pieds, frapper la cible avec les deux pieds, atterrir sur les deux pieds.  Cela semble simple, le record du monde est de 2,9 mètres!

La crosse – La crosse est pratiquée depuis plus de 500 ans par les Premières Nations du Canada. Chaque nation avait sa propre version de ce sport, mais toutes le pratiquaient pour remercier le Grand Esprit.

Jeux autochtones de l’Amérique du Nord 2023 (Français/Anglais)

La 10e édition des Jeux autochtones de l’Amérique du Nord accueillera des compétitions dans 16 sports réparties sur 21 sites à Kjipuktuk (Halifax), Dartmouth et la Première Nation de Millbrook.

Les Jeux autochtones de l’Amérique du Nord (JAAN) 2023 rassembleront plus de 5000 athlètes, entraîneurs et membres du personnel de plus de 756 nations autochtones qui célébreront, partageront et renoueront les liens par le biais du sport et de la culture avec l’aide de 3000 bénévoles.

cérémonie d'ouverture à B.C. Place aux Jeux olympiques d'hiver à Vancouver, en Colombie-Britannique, le vendredi 12 février 2010. (CP PHOTO)2010(HO-COC-Mike Ridewood)
cérémonie d’ouverture à B.C. Place aux Jeux olympiques d’hiver à Vancouver, en Colombie-Britannique, le vendredi 12 février 2010. (CP PHOTO)2010(HO-COC-Mike Ridewood)

Athlètes olympiques canadiens

Équipe Canada célèbre les athlètes olympiques autochtones

Brigette Lacquette est la première joueuse de hockey issue des Premières Nations nommée au sein de l’équipe nationale féminine du Canada. Brigette s’est jointe à l’équipe nationale féminine des moins de 18 ans en août 2008. Elle a récolté une médaille d’argent et une médaille d’or aux Championnats du monde de hockey féminin des moins de 18 ans en 2009 et en 2010 respectivement. Sa mère est originaire de la Première Nation Cote, en Saskatchewan, et son père est Métis, ce qui fait d’elle un modèle pour de nombreux jeunes athlètes autochtones.

Kenneth Moore était un joueur canadien de hockey sur glace qui a participé aux Jeux olympiques d’hiver de Lake Placid en 1932. Kenneth et ses coéquipiers du Winnipeg Hockey Club ont été les seuls athlètes canadiens à monter sur la plus haute marche du podium pendant les Jeux.

L’ailier droit était membre de la Première Nation Peepeekisis en Saskatchewan et est le premier médaillé d’or olympique autochtone du Canada. Son exploit n’a été largement reconnu qu’après son décès en 1982, quand des membres de sa famille ont découvert de vieux objets dans des boîtes, dont sa médaille d’or olympique.

Carolyn Darbyshire-McRorie est d’origine métisse et a commencé à jouer au curling à l’âge de 11 ans. Elle a ensuite remporté une médaille d’argent aux Jeux olympiques d’hiver de 2010 en tant que deuxième joueuse pour la capitaine Cheryl Bernard.

Liam Gill a commencé le snowboard à l’âge de quatre ans et n’avait que 18 ans quand il a fait ses débuts olympiques aux Jeux de Beijing 2022 en tant que seul compétiteur du Canada dans l’épreuve masculine de snowboard demi-lune. Il a représenté le Canada dans les trois disciplines du snowboard freestyle (demi-lune, big air, slopestyle) aux Jeux olympiques de la jeunesse d’hiver de 2020 à Lausanne.

Gill est le fier descendant d’une longue lignée de Dénés des Territoires du Nord-Ouest et représente les Dénés Dehcho en tant que membre de la Première Nation Liidlii Kue. Après sa participation aux Jeux olympiques, Gill est retourné dans les Territoires du Nord-Ouest pour la première fois depuis son enfance, afin de s’entraîner et de s’entraîner avec de jeunes athlètes de la région.

Mary Spencer a été trois fois championne du monde et cinq fois championne des Jeux panaméricains. Elle a fait ses débuts olympiques aux Jeux de Londres en 2012, où la boxe féminine faisait aussi ses débuts au sein du programme olympique. Avant ces Jeux, elle est devenue porte-parole de CoverGirl, une occasion unique pour une boxeuse et une athlète autochtone.

Fière athlète Ojibway de la Première Nation Cape Croker, elle a contribué à l’initiative des modèles autochtones GEN 7 de Motivate Canada. En 2019, elle a reçu le prix Randy Starkman dans le cadre de la cérémonie d’intronisation au Temple de la renommée olympique du Canada, en hommage à son travail auprès des jeunes autochtones du nord de l’Ontario.

Shirley Firth et Sharon Firth étaient des jumelles de la Première Nation Gwich’in et des membres de la première équipe olympique féminine de ski de fond du Canada.

Elles ont été parmi les premiers athlètes autochtones à représenter le Canada aux Jeux olympiques et sont toujours les seules skieuses canadiennes à avoir participé à quatre Jeux d’hiver consécutifs, à savoir Sapporo en 1972, Innsbruck en 1976, Lake Placid en 1980 et Sarajevo en 1984.

Shirley et Sharon Firth ont développé une aptitude naturelle pour ce sport dans le cadre d’un programme de ski destiné aux jeunes autochtones des Territoires du Nord-Ouest, appelé Territorial Experimental Ski Training Program (TEST). Ce programme avait pour but de motiver les jeunes tout en développant leur leadership et leurs compétences en ski. Après avoir pris leur retraite, elles ont consacré leur temps à divers programmes pour les jeunes dans le cadre des mêmes initiatives dans les Territoires du Nord-Ouest.

Pour découvrir d’autres athlètes autochtones extraordinaires, cliquez sur le lien suivant : https://olympique.ca/2019/06/21/equipe-canada-celebre-la-journee-nationale-des-peuples-autochtones/

cérémonie d'ouverture à B.C. Place aux Jeux olympiques d'hiver à Vancouver, en Colombie-Britannique, le vendredi 12 février 2010. (CP PHOTO)2010(HO-COC-Mike Ridewood)
cérémonie d’ouverture à B.C. Place aux Jeux olympiques d’hiver à Vancouver, en Colombie-Britannique, le vendredi 12 février 2010. (CP PHOTO)2010(HO-COC-Mike Ridewood)

ÉDUCATION, FORMATION ET BOURSES

La série – L’héritage autochtone dans le sport – Pour souligner la Semaine de la vérité et la réconciliation, le Programme scolaire olympique canadien est fier de présenter l’histoire de deux remarquables athlètes autochtones d’Équipe Canada, Jesse Cockney et Jillian Weir. Par leur évolution personnelle et leurs exploits, ces athlètes font résonner les voix autochtones.

L’élève abordera les thèmes de la gratitude et de l’inclusion, et fera des liens entre son monde, le programme et les récits (Jesse Cockney, Jillian Weir)

 Prix et bourses

Helen Betty Osborne Memorial Fund (Fonds commémoratif Helen Betty Osborne)

Cette bourse récompense les étudiants autochtones qui contribuent à éliminer les barrières du racisme, du sexisme, de la violence et de l’indifférence dans la société. Le fonds de bourses a été créé pour honorer sa mémoire et apporter un soutien financier aux étudiants autochtones. Ce fonds est l’un des centaines de fonds de bourses gérés par The Winnipeg Foundation.

Bourse de recherche Malcolm et Catherine Dewar pour la vérité et la réconciliation – Malcolm et Catherine Dewar ont créé un fonds à l’Université du Manitoba pour récompenser la réussite universitaire d’étudiantes et d’étudiants diplômés de la Faculté des études supérieures de l’Université du Manitoba qui font de la recherche dans le domaine de la vérité et de la réconciliation. Chaque année, à partir de 2020-2021 et jusqu’à l’épuisement des fonds, une bourse de recherche de 8000 $ sera offerte.

Série sur l’éducationIndigenous Community Research Partnerships (Partenariats de recherche avec les communautés autochtones)

Ressources de formation – Partenariats de recherche avec les communautés autochtones (ICRP) est une ressource de formation ouverte en ligne.  Elle est conçue pour aider les chercheurs qui débutent dans la recherche en partenariat avec les communautés inuites, métisses et des Premières Nations (« autochtones »), ou qui sont des chercheurs en formation. 

La formation de l’ICRP est disponible en ligne et sur demande, et peut être suivie sous la forme d’un certificat de l’Université Queen’s (accessible à ceux qui possèdent un identifiant net de l’Université Queen’s) ou sous la forme d’une ressource éducative en libre accès accessible au public. 

Indigenous CanadaCours gratuit de l’Université de l’Alberta – Le Canada autochtone est un cours en ligne ouvert et massif (MOOC) de 12 leçons de la Faculté des études autochtones qui explore les différentes histoires et perspectives contemporaines des peuples autochtones vivant au Canada. D’un point de vue autochtone, ce cours explore les expériences complexes auxquelles les peuples autochtones sont confrontés aujourd’hui dans une perspective historique et critique mettant en évidence les relations nationales et locales entre les Autochtones et les colons.

35 livres à lire pour le Mois national de l’histoire autochtone – CBC

Réconciliation et alliance

Quels sont les 94 appels à l’action? Les 94 Appels à l’action (AA) sont des recommandations politiques réalisables destinées à faciliter le processus de guérison de deux manières : en reconnaissant l’histoire complète et horrible du système des pensionnats et en créant des systèmes pour empêcher que ces abus ne se reproduisent à l’avenir.

Selon les AA, la prévention se fera en :

  • Enseignant à tous les Canadiens la réalité du traitement réservé aux populations autochtones
  • Créant des opportunités éducatives et économiques pour les Canadiens autochtones afin qu’ils puissent participer pleinement à la société

Les AA de la Commission de vérité et de réconciliation peuvent être divisés en deux catégories : Héritage (1 à 42) et Réconciliation (43 à 94). Chacune de ces catégories comprend de nombreuses sous-catégories destinées à aborder des aspects spécifiques du processus de réconciliation. Les appels à l’action numéros 87 à 91 présentent un intérêt particulier pour le COC : Sport et loisirs

Le rapport final de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées (ENFFADA) et les appels à la justice comporte une section intitulée « Appels à tous les Canadiens ».  Ces appels à l’action portent sur ce que les Canadiens peuvent faire en tant qu’individus pour remédier aux inégalités et au racisme historique dont sont victimes les membres des communautés autochtones.

Équipe Canada honore la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation et la Journée du chandail orange – Afin de soutenir notre communauté et d’en apprendre davantage sur l’histoire de la colonisation du Canada et sur le chemin vers la vérité et la réconciliation, le Comité olympique canadien a rassemblé sur cette page Web quelques ressources importantes ainsi que des suggestions d’activités éducatives.

Trousses d’outils pour les alliés

Bureau des initiatives autochtones – Université McGill
10 façons d’être un véritable allié des communautés des Premières Nations (en anglais seulement)

Balado pour les alliés

Unreserved, CBC – Construire un allié : des non-autochtones partagent leurs histoires de construction de ponts (en anglais seulement)

Que signifie soutenir la communauté autochtone et se tenir à ses côtés?  Certains non-autochtones ont été considérés comme des alliés, mais que signifie pour eux être un bâtisseur de ponts interculturels?

Son nom est synonyme de mouvement environnemental. David Suzuki est un allié de longue date des peuples autochtones de tout le pays. C’est toutefois une rencontre avec l’artiste et activiste Haïda Guujaaw, il y a 30 ans, qui a changé sa vision de l’environnement.

Inappropriate Podcast, CBC – Are you full native? (Êtes-vous pleinement autochtone? – en anglais seulement)

De nombreux autochtones se voient demander quel est leur degré d’ascendance autochtone. Cependant l’identité n’est pas qu’une question de fractions. Harv et Elena s’entretiennent avec Falen Johnson, de l’émission The Secret Life of Canada, au sujet de son parcours identitaire et de sa « pièce thérapeutique ». L’actrice Kaniehtiio Horn explique comment elle navigue entre les stéréotypes hollywoodiens et ce qui lui permet de se sentir liée à son peuple. Kim TallBear nous explique pourquoi l’ADN ne suffit pas à faire d’une personne une personne autochtone.